Alors voilà , ça y est, les deux journées d’études de l’OCIM que j’attendais depuis si longtemps se sont achevées hier soir. Et ce fà»t deux journées remplies en informations tout comme en émotion !
Tout d’abord je voulais vraiment remercier Angèle Fourès qui m’a contacté en juillet dernier par un simple petit mail pour me proposer d’intervenir lors de ces deux journées d’études.
Un petit résumé des interventions qui m’ont plues et ce qu’elles m’avaient apportées :
Alors en bref, pour ce qui m’intéresse la table ronde du mercredi 21 novembre au matin était pour moi la plus enrichissante et la plus dynamique (normal j’intervenais dans celle là ! ah ah ). En effet, la matinée a débuté par le compte rendu par Dominique Boullier (Université Européenne de Bretagne – Rennes 2) d’une étude sur la culture scientifique et technique sur le Web à travers des méthodes d’analyses très précises telles qu’une analyse sémiothique, topologique ou encore oculométrique. Cette intervention m’a surtout intéressé dans la présentation de la méthodologie précise d’une étude scientifique de contenu web.
Ensuite, un intervenant d’Ipsos Media, Bruno Lenain, nous a présenté les résultats des différentes enquêtes réalisées récemment par leur bureau d’études sur le comportement et les habitudes des internautes puis nous a dégagé les grandes tendances du web actuel avec des profils d’internautes selon le type de comportement : expectateur, passenger, chineur, trader, companion, mass downloader ou encore mass developer. Les études Ipsos sont toujours passionnantes mais portant sur ce sujet c’est encore mieux !
Dominique Cardon, Laboratoire des usages de France Télécom, est ensuite intervenu en mettant des noms sur tous les modèles de sites Internet que l’on connaît actuellement. J’ai donc appris que tous ce qui est
– Meetic ou sites de rencontre suivent le « modèle du paravent » (on se dévoile selon une analyse critérielle des moteurs de recherche).
– Skyblog et autres suivent le modèle du « clair/obscur » (on se dévoile seulement à ses amis ou à un cercle restreint même si les données sont ouvertes à tous).
– MySpace, Flickr et Wikipédia suivent le « modèle du phare » (on montre tout et on retrouve tout facilement)
Le reste des journées d’études en vrac :
Ensuite Agnès Parent, MNHN, est intervenue sur les usages du Web 2.0 dans les musées : tout simplement passionnant avec une tonne folle d’informations à enmagaziner en un tant très réduit.
Bernadette Goldstein, DMF, nous a expliqué comment est né le projet « L’Histoire de France par l’Image » et le parcours qu’ils ont fait pour arriver au site actuel en travaillant directement avec le Ministère de l’Education et les Archives de France.
Roland Topalian, chef de projet multimédia à la Cité des Sciences, a fait une intervention passionnante nous présentant Visite + : un espace dédié, personnalisé et personnalisable pour accompagner le visiteur avant sa visite, pendant et après. Promis j’en reparlerais d’une manière plus approfondie très vite.
Bon je n’ai pas parlé de tout le monde mais vous pourrez très vite retrouver une analyse de ces Journées d’Etudes sur le site de l’OCIM.
Pour ceux que ça intéresse, voici le ppt de mon intervention qui consistait à parler de mon blog, les tendances actuelles, les dernières grandes campagnes de communication muséale online et comment une opération offline a pu faire le plus gros buzz muséal de l’année.
En ce qui me concerne, les grandes questions et les grands axes à développer pour les musées sur Internet sont la relation entre le réel et le virtuel / créer des passerelles entre le offline et le online, développer les relations avec d’autres institutions muséales et/ou associatives ou autres, rendre le site accessible à tous les publics, débat sur l’externalisation des tâches ou non.
Voici ma présentation ppt sachant que je suis plutêt pour des présentations légères et du texet derrière donc je ne sais pas si les slides seront vraiment explicites !
Je trouve le concept « visite + » enthousiasmant. On pourra
Quand les musées le partageront, on ourra
Bon, je ne suis pas doué. Je n’arrive pas à terminer mon message ! On pourra sauvegarder nos expositions préférées. Ouf !
EM